Pour donner vie à notre vague lumineuse, dont le réalisme de la première bande annonce devait s’illustrer par un minimum de post-production, nous avons combiné une technique photographique à une autre cinématographique : à l’aide d’un Pixel Stick, judicieuse invention permettant la formation de motifs lumineux préenregistrés en utilisant de longs temps de poses, nous avons animé du lightpainting !
En déplaçant de peu nos fresques colorées à chaque nouvelle prise de vue, nous sommes parvenus à faire avancer cette vague dans les rues lyonnaises.

Dans un second temps, nous avons élaboré des formes et des couleurs en post-production en les réintégrant aux plans tournés dans la ville.

La première bande annonce en dévoile les traces, puis la seconde les met en scène en les faisant interagir avec les comédiens. Ceux-ci ont donc tourné les scènes en ne se projetant les formes qu’à l’aide de leur imagination et en se faisant une idée de leur couleur grâce à quelques sources de lumière portatives.